Samedi 31 mars 6 31 /03 /Mars 13:03

Cela faisait maintenant plus de deux heures que nous étions au restaurant, un souper délicieux, et surtout, une complicité magnifique. Deux heures à se parler de tout, de rien, de nous. Main dans la main, yeux dans les yeux. Toi me remettant délicatement une mèche de cheveux  sur le côté afin de voir entièrement mes yeux. Moi te faisant discrètement du pied sous la table en te taquinant comme j’adore le faire. Nos jeux verbaux nous font tellement rire ! Le temps passe sans que l’on s’en rende compte, mais nos paroles se font plus chaudes, plus désirantes. Tu as envie de moi, je le lis dans tes yeux sans que tu me le dises, et je te réponds de la même façon, en te fixant si intensément que tu comprends de suite ce que j’attends de toi.

 
-  Rentrons, j’ai trop envie de toi. 

 
Tu n’as pas su me résister et tes mots fondent sur moi comme un glaçon au soleil. J’esquisse un sourire de contentement qui ne t’échappe pas, et simultanément, nous nous levons pour partir. Tu m’aides à enfiler mon manteau non sans glisser un petit baiser dans mon cou. Hummm, tu sais à quel point j’aime ça et quel effet ça me fait ! Je sens que la nuit risque d’être  longue et …… très chaude.

 
Nous marchons l’un contre l’autre, serrés, ta main sur mes fesses, essayant de s’insinuer sous ma jupe. Je me laisse faire, écartant un peu plus les jambes pour que tu y réussisses. Le contact de tes doigts sur ma peau m’électrise, je frissonne, l’onde se propageant jusqu’à mon sexe déjà humide d’envie. Arrivés à la voiture, tu me plaques, dos à la portière, sans ménagement. Une bouche avide vient s’emparer de la mienne, forçant le barrage de mes lèvres pour un baiser passionné. Nos langues se rencontrent en un ballet enfiévré et dominateur. Elle est partout à la fois. Mon palais dont tu caresses tous les sillons. Mes dents que tu sembles vouloir forer par la puissance de ton dard. L’intérieur de mes joues, tendres coussins de chair que tu apprécies particulièrement. Je ne suis plus qu’une bouche, une cavité, que tu veux remplir par ton souffle, par ta chaleur, par tes baisers.

 
Ta main trouve la voie divine de mon entrejambe…

  - non, s’il te plait, pas ici ….

 - j’ai envie de toi …

  - rentrons, je veux te faire l’amour différemment ce soir, obéis-moi, c’est ta maîtresse qui te l’ordonne !

 
A ces mots, tu sais que tu ne peux qu’acquiescer, nos jeux de maître-esclave font partie de nos amusements et quand l’un décide d’être le maître, l’autre sait qu’il doit jouer aussi !

 
Je ne résiste pas à l’envie de caresser ton pantalon où une proéminence me confirme ton état second.

 
Sur le trajet, Je veux t’exciter au maximum. Je remonte ma jupe bien haut sur mes cuisses et commence à me toucher. Tu tends ta main vers mon sexe….

 
- non, tu ne me touches pas maintenant !

 

Une lueur d’incrédulité passe dans tes yeux, tu te demandes certainement ce que j’ai encore dans la tête à ce moment là. Mais tu acceptes et remets ta main sur le volant, l’air un peu dépité, pendant que je continue à me caresser, la main dans mon string. Je glisse deux  doigts dans ma vulve et les retire tout humectés de mon nectar. Tes coups d’œil dans ma direction me font sourire, tu crèves d’envie. Je me penche vers toi et te donne mes doigts à lécher.

 
- suce, et régale-toi.

 
Tu t’empresses de t’exécuter, les dégustant avec amour, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goutte.

 
Je reprends ma place, entrouvre mon manteau et déboutonne mon chemisier, laissant apparaître ma lingerie fine, mince rempart de ma nudité. Je commence à me caresser les seins aux pointes déjà durcies. Je les prends à pleines mains, imaginant que ce sont les tiennes qui le font. Ton regard oscille entre la route, le rétroviseur et moi. On joue un jeu dangereux mais c’est tellement excitant. Ton pantalon est beaucoup trop serré pour toi, comme je te plains ! Tu avances la main vers moi, voulant m’effleurer :

 
- non ! Ce soir tu ne me toucheras pas esclave !

 
Tu reprends le volant, toujours avec cet air dépité qui me fait sourire. On est presque arrivé. Je retire ma ceinture de sécurité, la route est déserte. J’exécute un quart de tour sur mon siège et ôte une de mes chaussures. Mon pied nu débute l’ascension de ta cuisse et vient se loger dans ton entrejambe. Tu gémis. Tu es si dur. Je masse ton sexe délicatement avec mes orteils :

 
- arrête, je t’en prie, tu fais tout pour m’obséder ce soir, à quoi tu joues ?

 
- je te l’ai dit, tu es à moi ce soir et j’ai envie de te faire souffrir à ma manière.

 
Clôturant ma phrase d’un clin d’œil, je me rajuste, nous sommes arrivés.

 
Je sors la première de la voiture, te laissant le soin de la fermer à clé. J’entre et me cache dans le noir, juste à côté. Tu me suis de peu. Avant que tu ne claques la porte, c’est moi qui te colle contre le mur, brutalement. Ma bouche se fait agressive, vorace. Mes lèvres t’avalent, t’absorbent. Mes dents te grignotent. Ta langue se fait mienne, nos salives se mélangent, je t’aspire en moi, complètement, te rendant fou. Une de mes mains se met à tâter ton sexe dur, proéminent, tentant, tandis que l’autre t’arrache presque les cheveux tant le désir est fort, palpable, intense.

 
- on monte, je te veux, te dis-je dans un souffle, mais pas de mains baladeuses !

 
- je serai ton esclave docile et soumis, ma maîtresse. Fais de moi ce que tu voudras.

 

La montée de l’escalier nous semble interminable, et l’arrivée à la chambre, une bénédiction.

 
- c’est moi qui te déshabille, laisse toi faire.

 - oui, maîtresse, avoues-tu à demi mots.

 
Je commence par la veste que je jette à terre. Ta chemise que je déboutonne lentement, tout en parsemant ton torse velu de légers baisers. Hummm, tu es à moi et cela m’excite au plus haut point, m’irradiant le sexe d’une chaleur exquise. Je ne peux m’empêcher de te lécher les tétons, pépins de chair que j’adore. Ils sont durs, déjà tous racornis, et les croquer, les mordiller est, pour moi un délice. Je passe ta chemise par-dessus tes épaules, ne résistant pas à l’envie de les mordre, laissant l’empreinte de mes dents dans ta chair. Hummm, tu gémis de plus belle. Jouant les vampires, je te grignote le cou, en remontant jusqu’aux oreilles, y enfournant la langue, suivant les sillons du pavillon, tétant le lobe, telle une mamelle.

 
Te voici à demi nu. Je défais les boutons de ta braguette, un à un. Mes mains s’insinuent de chaque côté de ton bassin et font descendre ton pantalon, lentement. Suivant le mouvement, je m’agenouille devant toi, prenant bien soin de me frotter tout contre ton corps pendant la durée interminable de ce moment, mes seins se collant à toi, creusant deux ornières irréelles sur ta peau. De mon menton, je viens caresser ton sexe à travers le fin tissu de ton boxer. Tu amorces un mouvement de bassin dans ma direction…. Non, pas tout de suite mon chéri, prends patience.

 
Te voilà en sous-vêtements, plus pour longtemps. Je reste agenouillée devant ta virilité, l’entourant de mon souffle chaud. Je devine qu’il palpite sous cette prison de tissu. Abaissant langoureusement ton boxer, je le laisse enfin respirer à l’air libre. Il est là devant moi, mât de chair, bâton de plaisir. Une vague de chaleur envahit mon intimité déjà ruisselante.

 
- assieds-toi sur la chaise, mon esclave aimant.

 
Tu m’obéis docilement pendant que je me penche sous le lit pour en sortir mon «  coffre à jouets ». J’en sors une paire de menottes. Tu croises les mains dans ton dos et je les attache au dossier, te laissant les jambes libres. A l’aide d’un foulard noir, je te bâillonne, marionnette muette et soumise de mes moindres désirs. Je m’éloigne de toi, satisfaite, regardant ton regard implorant. Il est temps de m’amuser maintenant.

 
Enclenchant une musique imaginaire, j’entame une danse lascive et sensuelle, ondulant du bassin, me caressant lentement. J’ôte délicatement mes escarpins, mes vêtements l’un après l’autre. Mon chemisier d’abord, faisant ressortir mes courbes, puis ma jupe. Me plaçant dos à toi, je me cambre au maximum, tout en la faisant glisser le long de mes fesses, laissant apparaître mon string et mes bas. Toujours de dos, je dégrafe mon soutien-gorge, le jetant à travers la pièce. Je me caresse les fesses, je sens ton regard me pénétrer, s’immiscer en moi.

 
Je me  retourne, les mains sur les seins. Je te regarde en les massant, je les pétris, les malaxe, j’en pince les pointes érigées en gémissant. Finalement, je les lâche pour descendre plus bas, vers mon ventre. Je te fixe du regard, guettant la moindre expression sur ton visage lorsque je glisse ma main dans mon string et que j’en ressors un doigt enrobé de mon jus. Je m’empresse de le lécher, comme j’en ferais avec ta queue. J’effectue des va et vient avec mon index, mimant une fellation. Tu plisses les yeux de désir. Je me retourne à nouveau pour me débarrasser de ma lingerie. Comme pour la jupe, je me cambre au maximum pour t’offrir la vue magnifique de ma chute de rein. J’écarte bien les jambes, je sais que tu regardes mon sexe, je sais que tu crèves de désir. Je t’offre ma nudité, ma chatte entièrement épilée, douce comme la soie. La tête en bas, j’entrouvre largement mes fesses, te faisant admirer mon petit trou et mon sexe entièrement ouvert. Je ne résiste pas à l’envie d’y enfourner 2 doigts. Hummm, c’est tellement bon. Un troisième les rejoint, les enfonçant profondément en moi. Je me redresse et me mets face à toi, léchant à nouveau avidement mes doigts couverts de mon jus. Il est temps de passer aux choses sérieuses.

 
M’allongeant sur le lit, je me caresse paresseusement. D’abord les seins dont je titille les pointes, dessinant de délicates arabesques du bout des doigts, glissant le long de mon corps pour arriver en mon antre. Je suis le tracé de mes lèvres ourlées, apprécie la douceur de ma vulve, la dureté de mon bouton d’amour. Je le pince entre mes doigts, me faisant gémir profondément. Je le serre entre mon pouce et mon index, le vrille, l’arrachant presque de son écrin de chair, mais j’en veux plus …

 
Je m’empare d’un gode bleu, plutôt long et large. Je l’approche de ma bouche, je sais que tu me contemples et ne perds pas une miette du spectacle que je te donne. Je l’introduits dans ma bouche, l’aspirant, le suçant comme si c’était ta queue que j’avais en mon palais. Je le savoure, le déguste, m’en régale. Plongeant deux doigts dans ma vulve trempée, je sais qu’elle est prête à le recevoir. J’attrape le gode à deux mains et l’enfonce d’un coup sec dans mon sexe, m’arrachant un cri de douleur et de plaisir en même temps. Je le sens en moi, me comblant entièrement. Je contracte mes muscles pour en apprécier la matière. Hummm, c’est divin. Je débute de lents va et vient, le faisant quasiment ressortir pour l’enfoncer encore plus loin, encore, et encore, et encore …

 
Je t’observe. Tu as les yeux fixés sur ma chatte, ton sexe tendu comme un arc, tremblotant, implorant presque ma miséricorde, comme un appel de détresse. Laissant le gode dans son orifice, j’en prends un autre, un plug. Celui-là aussi je le suce, comme je l’ai fait avec l’autre, comme j’ai envie de le faire avec ta queue. Une fois bien enrobé de ma salive, je le dirige vers mon petit trou, rien qu’un léger contact avec le latex m’électrise. J’écarte bien les jambes et le pousse avec infiniment de soin, millimètres  par millimètres. Hummm, c’est bon. En quelques secondes, l’olisbos se retrouve coincé dans mon anus. J’adore cette sensation d’être complètement remplie des deux côtés. Un godemiché dans chaque main, j’entreprends à nouveau des va et vient, désynchronisés. Quand l’un rentre, l’autre ressort, c’est une véritable torture. Je sens le plaisir monter au creux de mes reins, venir me vriller de sa force. Soudain, un cri rauque déchire le silence de la chambre. Je me cambre sous sa puissance, je me tétanise. Un hurlement s’échappe de ma gorge, submergée par l’orgasme. Aaaaaaaaaaaaaaaah…….

 
La tension retombe, le calme reprend sa place en moi. Je t’observe. Tu as les yeux embués de larmes, le visage troublé comme s’il me remerciait en silence. Je me relève et m’avance vers toi. Je tombe à tes genoux, il est temps de te délivrer, mon amour. J’approche ma bouche de ton sexe. Je le sens sur le point d’exploser. Je l’embrasse doucement, bâton de chair si doux à mes lèvres, puis tes bourses, si délicates. Je les couvre de baisers humides, emplis de ferveur. Je lèche enfin ta queue, d’abord le bas, puis ma langue remonte le long de la hampe. Je devine par tes gémissements que tu ne tiendras plus longtemps, le désir étant à son paroxysme. Je t’avale d’un coup, enroulant ma langue autour de ton gland,  rosé, suintant. Mes lèvres coulissent le long de ce pieu, humides, chaudes, expertes. Je te suce doucement d’abord, pour savourer toute sa saveur, puis, j’accélère le mouvement, le faisant cogner contre ma gorge. Tout à coup, un gémissement plus fort que les autres, ma main vient se lover contre tes boules, les caressant, les pressant, je sens le spasme déferler du bas de ton ventre. Ta semence gicle dans ma bouche en longs jets brûlants et sirupeux. Je t’avale avec passion, avec amour, dégustant cette offrande que tu m’accordes. Je n’en perds pas une goutte, je veux te boire entièrement…

 

Le feu s’éteint doucement, je me relève et viens m’asseoir à califourchon sur toi. Je te retire ton bâillon. Les yeux dans les yeux, juste quelques mots …

 
…… je t’aime….

                               

 

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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