Consummée
Incendiée
Grillée
Allumée
Respirée
Embrasée
Torturée
Tétée
Enflammée
Consummée
Incendiée
Grillée
Allumée
Respirée
Embrasée
Torturée
Tétée
Enflammée
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles.
Elles, très fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard méprisant et laissant le vent tout faire,
Elles, dans l'suave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur terre,
C'est leurs robes légères.
On en fait beaucoup,
Se pencher, tordre son cou
Pour voir l'infortune,
À quoi nos vies se résument,
Pour voir tout l'orgueil,
Toutes les guerres avec les deuils,
La mort, la beauté,
Les chansons d'été,
Les rêves.
Si parfois, ça les gène et qu'elles veulent pas
Qu'on regarde leurs guiboles, les garçons s'affolent de ça.
Alors faut qu'ça tombe :
Les hommes ou bien les palombes,
Les bleres, les khmers rouges,
Le moindre chevreuil qui bouge.
Fanfare bleu blanc rage,
Verres de rouge et vert de rage,
L'honneur des milices,
Tu seras un homme, mon fils.
Elles, pas fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard implorant, et ne comprenant pas tout,
Elles, dans l'grave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur cette terre,
C'est leurs robes légères.
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
La, la, la, la, la...
Alain Souchon: "sous les jupes des filles"
J'ai des butterfly, des papillons en pagaille
Ton visage se dessine dans les moindre détails
Un peu sonnée par cette foutue bataille
Je m'accroche à tes mots dans le moindre détail ...
Superbus : "Butterfly"
Alanguie sur le lit, il fait chaud. Il est 15h, la chaleur est au maximum en ce lourd après-midi de juillet. Je porte cette petite robe jaune transparente, presque diaphane, qui laisse deviner la totalité de mes formes. Formes libérées puisque je ne porte rien dessous. Largement déboutonnée sur le haut, elle ne cache rien de mon décolleté plongeant. Il fait chaud….très chaud…..trop chaud, même la lecture du roman que j’ai entre les mains ne peut m’empêcher d’y penser. Je décroche le téléphone :
« Ici la chambre 14, j’aimerais qu’un homme vienne me rafraîchir, s’il vous plait.
- bien sur madame, il sera là d’ici quelques minutes. »
Je me replonge dans mon bouquin et, effectivement, en moins de 5 minutes, on frappe à la porte :
« Madame, je viens pour vous rafraîchir.
- entrez ! »
La porte s’ouvre lentement et laisse apparaître un homme d’une vingtaine d’années, blond, avec les cheveux mi-longs, et une carrure qui n’a rien à envier à un catcheur. Ses yeux bleus me fixent intensément, il est craquant. Fermant la porte derrière lui, il tient à la main une sorte de grand éventail en plumes d’autruche, comme ceux que l’on voit sur les tableaux antiques. Se plaçant à côté de moi, il commence son balancement de haut en bas, tout en regardant ailleurs. La fraîcheur commence à se faire sentir, mais ce beau mâle me donne encore plus chaud. Levant les yeux de mon livre, je le détaille du regard, il n’est vêtu que d’une fine serviette blanche qui lui enserre la taille, et je passe ma langue sur mes lèvres rien qu’en essayant de deviner se qui se cache dessous.
Nos regards se croisent, esquissant un léger sourire, il me demande :
« Madame apprécie-t-elle son rafraîchissement ?
- oui mais j’ai encore très chaud.
- madame veut-elle que je lui commande un autre rafraîchissement ?
- avec plaisir, j’aimerais bien un thé glacé. »
Décrochant le téléphone, il commande à la réception et me dit que ma boisson arrivera sous peu. Il revient se placer à côté de moi et se remet à balancer lentement son éventail, tout en me regardant plus souvent, je sens son regard sur moi, et ça me donne des picotements entre les cuisses, humm c’est délicieux.
On frappe, c’est mon thé. Mon flabellifère ouvre la porte sur un homme brun, les cheveux courts, à la carrure d’athlète, portant un plateau, il est vêtu de la même façon que l’autre, mais ce sont ses yeux d’un bleu acier qui me donnent des frissons. Il s’agenouille prés de moi, me tendant le verre givré où flottent des glaçons. Reposant mon livre, je me délecte de ce nectar qui me rafraîchit instantanément. Tandis que mon porte éventail reprend sa place, je continue à boire devant l’autre homme toujours à mes genoux.
Lui tendant mon verre, je lui demande de me refroidir encore plus. Se saisissant d’un glaçon, il commence à le faire glisser sur mes mollets, j’en frissonne de plaisir, il remonte le long de ma jambe, jusqu’à ma cuisse, là, il s’arrête, et va vers mon bras, glisse le long de celui-ci, jusqu’à l’épaule, la gorge, et descend sur ma poitrine pour s’arrêter entre mes seins. Je sens l’eau glisser entre les deux, me donnant des frissons, frissons se propageant jusqu’à mon sexe, il a faim, et salive déjà du repas que je vais lui donner.
Je me mets sur le dos, jambes légèrement écartées, d’un regard je vois que mes 2 serviteurs sont déjà assez excités, vu la bosse proéminente de dégageant du pagne qu’ils portent. Mon pied gauche vient flatter les pectoraux de mon glacier, il s’en saisit et commence à me sucer les orteils, d’abord les petits, puis le gros qu’il suce intensément. Ses mains glissent le long de ma jambe, s’aventurent sur ma cuisse, effleurent mon intimité déjà humide. Je jette un œil à mon flabellifère resté en suspend devant le spectacle qui s’offre à ses yeux, me regardant fixement, il accepte l’accord tacite que je lui lance et vient me rejoindre de l’autre côté du lit. S’asseyant, il prend mon autre jambe dans ses mains et entreprend lui aussi de me sucer avidement les orteils, une telle offrande ne peut que me faire gémir. Le désir me tenaille et lentement, mes mains viennent caresser mes seins aux mamelons déjà durcis. Comme un appel silencieux, le brun se détache de mon pied pour venir déboutonner ma robe, deux boutons et mes seins éclatent au grand jour, laissant apparaître une poitrine ferme et ronde qui ne demande qu’à être cajolée. Il ne se fait pas prier, et lentement ses mains douces mais fermes viennent s’en emparer, il les pétrit, les malaxe, vient goûter leur saveur d’une langue experte, faisant rouler une des pointes entre ses dents, il pince l’autre entre le pouce et l’index me faisant gémir de plus en plus. Je suis trempée et mon autre serviteur ne tarde pas à s’en apercevoir, glissant ses mains le long de ma cuisse, il s’aventure sur mon sexe humide, me titillant le clito d’une main. Il rentre un doigt, puis deux, dans mon vagin, me faisant onduler de plaisir. Tout en continuant le va et vient de ses doigts en moi, il s’abaisse et vient engloutir mon bouton entre ses lèvres, sa langue lourde et habile déclenche une tempête en moi, je veux plus, beaucoup plus !
Mes râles se font de plus en plus forts, ma respiration de plus en plus courte.
Me déshabillant complètement, ma nudité s’offre à leurs yeux. Agenouillée sur le lit, je les regarde se défaire de leurs serviettes, laissant apparaître devant mes yeux gourmands, deux magnifiques verges, longues et épaisses. Je passe ma langue sur mes lèvres et regarde le brun, lui faisant comprendre ce que je veux. Il s’avance, son odeur de mâle me rend dingue. Empoignant sa queue, je la lèche doucement, comme on fait pour une glace, de bas en haut, avec de grands coups de langue. Ses gémissements me font comprendre qu’il apprécie la chose. Je l’engloutis, le suce, de plus en plus fort, de plus en plus profondément, son sexe venant buter contre ma gorge. Je sens derrière moi la présence de l’autre homme, une de ses mains me caresse les seins, l’autre me titille le clito, s’aidant de ma mouille pour insinuer ses doigts en moi quand il en a envie. Je me balance de plus en plus sous ses doigts tortueux, son index et son majeur dans mon vagin, il insère son pouce dans mon anus, me faisant gémir de plaisir encore plus. Je ne suis plus qu’un corps affamé qui réclame sa part de sexe.
« Prenez-moi !!! »
Ma voix est une supplique, une prière.
M’agrippant par les seins, le blond me redresse, pendant que le brun s’insinue entre mes cuisses. Je me soulève et vient m’empaler sur lui dans un râle, je sens sa queue dure me remplir complètement. La chatte en feu, j’ondule du bassin pour lui donner le rythme. Ma cyprine coule le long de mes cuisses. Le blond vient se coller contre moi, je sens son sexe palpiter contre mes fesses. Appuyant sur ma nuque, il m’oblige à me pencher encore plus, lui offrant ma croupe. Se tenant à mes hanches, il insère son sexe tendu à l’extrême dans mon anus, petit à petit, centimètres par centimètres, il s’avance en moi. Arrivé à la garde, il s’arrête, me laissant l’accepter doucement. Puis entame un lent va et vient, d’une lenteur exquise, celui-ci accélère, pour aller crescendo. Son acolyte vient calquer son rythme sur le sien. C’est en phase qu’ils me pilonnent, qu’ils me liment, qu’ils me prennent. Telle une harpie, j’hurle, le plaisir montant me rendant folle. Tout à coup, je m’arc-boute, tel un arc trop tendu, le corps en suspend, la tête en arrière, les membres tétanisés, le plaisir me submerge, c’est dans un râle que je le crie, que je le hurle tandis que mes 2 partenaires déchargent leur sperme en moi, inondant l’intérieur de mon corps.
Repue, épuisée, c’est sur le torse de l’homme brun que je reprends mes esprits.
Se rhabillant tous les deux, un sourire de contentement sur les lèvres, c’est avec une voix douce qu’ils me demandent :
« Nous espérons, madame, que vous êtes pleinement satisfaite de la prestation de notre établissement. »
Soyez assurés que je ne manquerais pas d’y revenir !
Si l’amour était une couleur
Ce serait celle de tes yeux
Si l’amour était une odeur
Ce serait celle de ta peau
Si l’amour était un son
Ce serait celui de tes cris
Si l’amour était une saveur
Ce serait celle de ta bouche
Si l’amour était une musique
Ce serait celle de tes je t’aime
Si l’amour était un vent
Ce serait celui de ton souffle
Si l’amour était un lieu
Ce serait entre tes bras
Si l’amour avait un nom
Il n’en porterait qu’un seul…le tien
à toi que j'aime....
Je serai ton dessert de choix
Longuement espéré, réclamé à mi-voix
Détache-moi de mon enveloppe de cristal
Cœur d’orchidée caché par ses pétales
De tes doigts délicats, écarte mes écrans de papier
Artifices cachant une friandise tant désirée
Hume mes parfums capiteux
Promesse d’un moment licencieux
Regarde mes monts et mes vallées
Apprécie-en les pleins et les déliés
Ose toucher ces courbes maintenant découvertes
Les yeux enfiévrés, les sens en alerte
Pour toi je serais chocolat au lait
Douce et onctueuse selon tes souhaits
Je peux aussi me faire chocolat blanc
Parfum léger mais tout aussi émoustillant
Transforme-moi en chocolat noir
Goût amer et fort qui appelle le pouvoir
Laisse moi fondre au contact de tes baisers
Lèche-moi et savoure-moi au creux de ton palais
Puise à la source ma saveur sucrée
Voluptueux nectar qui fait ton régal de gourmet
Croque-moi de tous côtés
Bois-moi jusqu’à t’enivrer
Viens me rejoindre au milieu de cet écrin
Prend-moi et nous ne ferons plus qu’un
Enveloppe-moi de ton corps, de ta chaleur
Sois mon chocolat et abreuve-moi de ta liqueur
Tes va-et-vient insolents n’en ont que plus d’ardeur
Lorsque tu t’enfonces et qu’approche l’heure
De cet instant où se mélangent nos saveurs
Crie-moi, hurle-moi, le plaisir est là, enivrant
Désir absolu, orgasme affolant
Le temps s’arrête, les corps se statufiant
Vague de jouissance qui ne s’arrête pas
Donnée par un dessert dont tu ne te lasses pas
une petite présentation s'impose.....
Mon oiseau de paradis
Mon petit colibri
Dessiné au creux de mes seins
De mon corps tu as fait le tien
Courbes savamment esquissées
Plumes délicatement colorées
Encre de chair, dessin de peau
Tatouage éternel dont je suis le berceau
Contre mon mamelon tu te loves
De mon aréole tu as fait ton alcôve
Ta vision est un appel au plaisir
De t’embrasser chacun en a le désir
Toute bouche souhaite prendre ta place
Tout comme moi, tu aimes que l’on t’embrasse
Mais malgré toutes ces lèvres, toutes ces mains
De mes seins tu resteras le seul souverain
Mai 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
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6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ||||
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