Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 00:37

Consummée
Incendiée
Grillée
Allumée
Respirée
Embrasée
Torturée
Tétée
Enflammée

Par colibri - Publié dans : Beauté de corps ...
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Samedi 27 janvier 6 27 /01 /Jan 15:30

Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles.

Elles, très fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard méprisant et laissant le vent tout faire,
Elles, dans l'suave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur terre,
C'est leurs robes légères.

On en fait beaucoup,
Se pencher, tordre son cou
Pour voir l'infortune,
À quoi nos vies se résument,
Pour voir tout l'orgueil,
Toutes les guerres avec les deuils,
La mort, la beauté,
Les chansons d'été,
Les rêves.

Si parfois, ça les gène et qu'elles veulent pas
Qu'on regarde leurs guiboles, les garçons s'affolent de ça.

Alors faut qu'ça tombe :
Les hommes ou bien les palombes,
Les bleres, les khmers rouges,
Le moindre chevreuil qui bouge.
Fanfare bleu blanc rage,
Verres de rouge et vert de rage,
L'honneur des milices,
Tu seras un homme, mon fils.

Elles, pas fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard implorant, et ne comprenant pas tout,
Elles, dans l'grave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur cette terre,
C'est leurs robes légères.

Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
La, la, la, la, la...

           Alain Souchon: "sous les jupes des filles"

Par colibri - Publié dans : chansons qui m'interpellent
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 00:45

       

                                        

J'ai des butterfly, des papillons en pagaille
Ton visage se dessine dans les moindre détails
Un peu sonnée par cette foutue bataille
Je m'accroche à tes mots dans le moindre détail ...

 

                                        Superbus : "Butterfly"

 

Par colibri - Publié dans : Boris Vallejo
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Samedi 13 janvier 6 13 /01 /Jan 17:16
Le jour de notre rencontre est arrivé. Tu m'avais dit que tu m'attendrais dans ta tenue préférée. A l'heure précise, j'ouvre ta porte, je t'appelle, tu ne réponds pas, je m'avance dans ta maison, je te cherche, je ressens déjà une douce chaleur à l'idée de te découvrir...

J'arrive sur la pas de ta chambre dont la porte est légèrement entrouverte, je t'entends alors me dire "viens"...je pousse alors la porte doucement, je te vois...tu es là , devant moi, assise sur ton lit, éclatante dans ton peignoir...cette vue me trouble énormément, j'ai le souffle coupé, je ne peux dire un mot...

D'un signe de la main, tu me dis d'avancer...je suis à quelques centimètres de toi, je n'arrive pas à parler tellement cette situation m'excite et m'intimide à la fois.. Ta main se pose alors sur mes lèvres comme si tu devinais ma gêne...ce geste me libère de mon inhibition...

J'embrasse tes doigts posés sur ma bouche, je me penche alors pour me rapprocher de toi, tu te lèves à ton tour, nos regards intenses se croisent...nos lèvres se frôlent, je sens ton souffle déjà court sur moi...je dépose sur tes lèvres un doux baiser, baiser que tu me rends de manière plus appuyée...nos lèvres s'entrouvrent, je sens ta langue chercher la mienne...nos baisers sont de plus en plus fougueux, tu te colles à moi, nos mains caressent nos corps enflammés...

Mon sexe me torture, je sens ta main me caresser l'entrejambe, je pousse un soupir de plaisir...soudain, je te sens de plus en plus excitée, tu glisses dans mon cou, m'embrassant, tu enlèves mon tee-shirt...ta langue vient alors titiller mes tétons, tes ongles me griffent doucement le ventre..."J'ai envie de ta queue" me dis-tu alors...joignant le geste à la parole, tu défais un à un, lentement, les boutons de mon jean...laissant apparaître mon boxer déformé par la bosse de mon sexe...

Tu glisses ta langue dans mon nombril, l'explorant longuement. Je commence à avoir le souffle court, je laisse échapper un gémissement légèrement voilé d'un râle, frustration de ne pas être déjà arrivée à mon sexe... sentant mon envie brûlante qui te dévore également, ta main se pose sur mon sexe, le caressant doucement dans un léger va et vient. Tu enlèves mon boxer, ou plutôt tu l'arraches quasiment, tellement tu veux le voir, y goûter.

Mon sexe est fièrement dressé, mon érection est telle qu'elle me fait presque mal. Tu pousses un petit soupir, semblant satisfaite à la vue de ce sexe. Tu le prends enfin dans ta main et commence à me masturber. Un son rauque s'échappe de mes lèvres...tu te penches alors vers ma queue, ta langue titille le bout de mon gland, je gémis.


Tu en fais le contour, prolongeant ainsi mon plaisir. Je t'appelle doucement murmurant ton nom dans un souffle...tu introduis alors mon sexe tendu dans ta bouche, l'enveloppant de tes lèvres humides. Puis tu amorces un long mouvement de haut en bas avec ta tête, ta langue parcourant mon membre à l'intérieur de ta bouche, ta main libre, malaxant doucement mes couilles, accentuant ainsi mon excitation...

Tu fais aller et venir mon sexe dans ce fourreau soyeux tandis que ta langue s'active sur mon gland. Ta bouche montes et descends. Ã toute vitesse le long de ma hampe pour revenir à un rythme plus calme. De temps en temps ta langue lèche mes testicules pour s'aventurer timidement sur mon anus. Je ne tiens plus, je sens la jouissance monter en moi, je te demande alors à regret d'arrêter cette superbe fellation...

Tu t'es alors assise à côté de moi et me tire à toi pour que je t'embrasse. Je sentais ton désir, je sentais le mien. M'approchant de toi, j'ose rompre mon silence et te chuchote :

- Tu es belle.

- Tu me trouves réellement belle ? me réponds-tu

- Oui, je te trouve très attirante.

- Tu veux me faire plaisir, s'il te plaît ?

- Oui.

- Va t'asseoir en face de moi sur le fauteuil.

Je m'asseye donc en face. Je trouve la situation vraiment étrange. Tu continues à me fixer dans les yeux et j'en fais de même. Tu me demandes de te regarder. Tu écartes les pans de ton peignoir, dévoilant un corps nu. Vraisemblablement excitée par la situation, tu commences à te caresser devant moi, impudiquement, comme tu le ferais si tu étais seule. J'assiste à ce spectacle avec une grande attention mêlée d'une excitation grandissante.

Tu te caresses le sexe, les seins pendant quelques instants qui me sembles infinis...je n'ai plus qu'une seule envie, celle de te rejoindre et de goûter à ton corps brûlant...Je me lève, le sexe perpétuellement en érection, je me jette littéralement sur toi...Je t'embrasse tendrement dans le cou tout en te caressant, ta peau est douce et en même temps moite d'excitation...je me mets à contempler tes seins fièrement dressés, ta poitrine me plaît...Mes mains caressent tes flancs, remontent jusqu'à tes seins. Elles les emprisonnent, les massent doucement, pincent tendrement les mamelons tendus au milieu des aréoles. Ma bouche effleure tour à tour les globes fermes. Ma bouche se fait plus précise, mes lèvres happent un mamelon et tètent. De mes dents je le mordille en même temps. Je l'aspire comme si je voulais prendre tout ton sein dans la bouche. Je le léchouille, je le suce, je le mordille. Ma main saisit ton sein droit, et le pétrit. Je triture son téton entre le pouce et l'index, je le pince cruellement. Tu rejettes la tête en arrière, ton bassin s'agite dans le vide. Les sons s'échappent de ta bouche, et je la couvre de la mienne pour les étouffer. Nos baisers reprennent, nos mains se tiennent.

Une goutte de sueur perle sur ton ventre...j'embrasse ton nombril, ton ventre, je descends lentement à hauteur de ton sexe finement épilé. J'écarte délicatement tes lèvres intimes, approche mon visage encore plus près, tend la langue et d'un coup la plonge dans les replis qui s'ouvrent devant moi. Je lèche, le goût de ta cyprine m'enivre, un goût agréable, je m'en régale, je m'en abreuve, je m'en délecte...

Je me laisse aller à écarter tes jambes au maximum : mes mouvements de langue se font de plus en plus précis et pénétrants : tantôt elle s'enfonce au plus profond de ta cavité rose, tantôt elle s'en éloigne pour te lécher l'intérieur des cuisses...je prend possession de ton intimité et te mouille la vulve de quelques grands coups de langue particulièrement bien appliqués puis, sans prévenir, enfonce d'un coup mon majeur au plus profond de ton vagin. Alors que je m'applique à te lécher le sexe de plus belle, j'en profite pour glisser une main entreprenante sous tes fesses et introduire subrepticement un doigt mouillé de ton jus dans ton anus que je titille de ma langue, abandonnant un instant ton minou. Sentant ta jouissance monter, je me retire, et me relève pour que tu vois mon sexe dur à l'extrême...cette vue attise ton désir, tu me lances "je veux te sentir en moi"...

Mon sexe se dresse devant l'entrée du tien...je caresse ton clitoris avec mon gland, puis entre doucement en toi. Tu fermes les yeux et soupires de contentement. Ma tête se love dans ton cou, mes mains parcourent ton corps, tandis que mon sexe commence une série d'aller et retour, doucement d'abord, puis accélérant progressivement à mesure que les parois s'enduisaient davantage de cyprine. Chaque pénétration me donne un plaisir énorme, tu te cambres, ton corps est secoué de frissons, tu gémis de plus en plus fort, tes caresses sur mon dos se font de plus en plus appuyées, les muscles de ton vagin se contractent par spasmes autour de ma verge avant de s'ouvrir encore plus largement à son passage.

Tu te caresses fortement le clito, je sens ta jouissance monter de plus en plus, tu me demandes alors de te prendre en levrette...La vue de tes fesses me fait bander encore plus, je glisse d'un coup ma queue au fond de ton sexe, j'ai envie de te faire jouir très fort...pour t'achever, je glisse un doigt dans ton anus que je pressens accueillant...mes couilles viennent buter contre tes fesses, je sens ta main te masturber, mon sexe te remplit complètement. Ton corps se cambre alors, je sens les spasmes de l'orgasme te gagner, tu jouis violemment, libérant un long cri de plaisir...

A peine remise, tu me lances : "J'ai soif, soif de toi. Je vais te sucer la queue jusqu'à ce que tu viennes dans ma bouche." Tu te colles sur moi, bouche contre bouche, chaque parcelle de ton corps littéralement collée contre ma peau et commence une lente migration vers le bas. Je sens contre mon torse les pointes des seins qui gravent leur chemin dans ma peau, tes mamelons encore durcis de ton excitation. Ta bouche et ta langue excitent chaque partie de mon corps qui passe à leur portée. Mais lorsque ta bouche se pose sur mon sexe tendu, j'ai l'impression que je vais m'évanouir. C'est chaud, humide, doux, explosif, la pointe de ta langue sur le méat est légère mais la succion de tes lèvres insistante, presque violente. L'une de tes mains va et vient sur ma hampe, tandis que l'autre presse tendrement mes deux testicules que tu lèches de temps en temps. Il ne te faut pas longtemps pour me faire jouir. J'explose en toi, en de puissantes giclées, agité par les convulsions d'un plaisir violent. Tu me tiens les fesses et continue à me sucer jusqu'à la dernière goutte. Jamais une femme ne m'a fait don de sa bouche comme ça.

Anathema
26 mai 2006
Merci voisin pour ce superbe texte ... je t'embrasse
                               
Par colibri - Publié dans : j'aime leurs plumes...
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Mardi 9 janvier 2 09 /01 /Jan 20:13

                              

Par colibri - Publié dans : zone humour
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Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 19:21

 

Alanguie sur le lit, il fait chaud. Il est 15h, la chaleur est au maximum en ce lourd après-midi de juillet. Je porte cette petite robe jaune transparente, presque diaphane, qui laisse deviner la totalité de mes formes. Formes libérées puisque je ne porte rien dessous. Largement déboutonnée sur le haut, elle ne cache rien de mon décolleté plongeant. Il fait chaud….très chaud…..trop chaud, même la lecture du roman que j’ai entre les mains ne peut m’empêcher d’y penser. Je décroche le téléphone :

 

«  Ici la chambre 14, j’aimerais qu’un homme vienne me rafraîchir, s’il vous plait.

 

- bien sur madame, il sera là d’ici quelques minutes. »

 

Je me replonge dans mon bouquin et, effectivement, en moins de 5 minutes, on frappe à la porte :

 

«  Madame, je viens pour vous rafraîchir.

 

- entrez ! »

 

La porte s’ouvre lentement et laisse apparaître un homme d’une vingtaine d’années, blond, avec les cheveux mi-longs, et une carrure qui n’a rien à envier à un catcheur. Ses yeux bleus me fixent intensément, il est craquant. Fermant la porte derrière lui, il tient à la main une sorte de grand éventail en plumes d’autruche, comme ceux que l’on voit sur les tableaux antiques. Se plaçant à côté de moi, il commence son balancement de haut en bas, tout en regardant ailleurs. La fraîcheur commence à se faire sentir, mais ce beau mâle me donne encore plus chaud. Levant les yeux de mon livre, je le détaille du regard, il n’est vêtu que d’une fine serviette blanche qui lui enserre la taille, et je passe ma langue sur mes lèvres rien qu’en essayant de deviner se qui se cache dessous.

 

Nos regards se croisent, esquissant un léger sourire, il me demande : 

 

« Madame apprécie-t-elle son rafraîchissement ?

 

- oui mais j’ai encore très chaud.

 

- madame veut-elle que je lui commande un autre rafraîchissement ?

 

- avec plaisir, j’aimerais bien un thé glacé. »

 

Décrochant le téléphone, il commande à la réception et me dit que ma boisson arrivera sous peu. Il revient se placer à côté de moi et se remet à balancer lentement son éventail, tout en me regardant plus souvent, je sens son regard sur moi, et ça me donne des picotements entre les cuisses, humm c’est délicieux.

 

On frappe, c’est mon thé. Mon flabellifère ouvre la porte sur un homme brun, les cheveux courts, à la carrure d’athlète, portant un plateau, il est vêtu de la même façon que l’autre, mais ce sont ses yeux d’un bleu acier qui me donnent des frissons. Il s’agenouille prés de moi, me tendant le verre givré où flottent des glaçons. Reposant mon livre, je me délecte de ce nectar qui me rafraîchit instantanément. Tandis que mon porte éventail reprend sa place, je continue à boire devant l’autre homme toujours à mes genoux.

 

Lui tendant mon verre, je lui demande de me refroidir encore plus. Se saisissant d’un glaçon, il commence à le faire glisser sur mes mollets, j’en frissonne de plaisir, il remonte le long de ma jambe, jusqu’à ma cuisse, là, il s’arrête, et va vers mon bras, glisse le long de celui-ci, jusqu’à l’épaule, la gorge, et descend sur ma poitrine pour s’arrêter entre mes seins. Je sens l’eau glisser entre les deux, me donnant des frissons, frissons se propageant jusqu’à mon sexe, il a faim, et salive déjà du repas que je vais lui donner.

 

Je me mets sur le dos, jambes légèrement écartées, d’un regard je vois que mes 2 serviteurs sont déjà assez excités, vu la bosse proéminente de dégageant du pagne qu’ils portent. Mon pied gauche vient flatter les pectoraux de mon glacier, il s’en saisit et commence à me sucer les orteils, d’abord les petits, puis le gros qu’il suce intensément. Ses mains glissent le long de ma jambe, s’aventurent sur ma cuisse, effleurent mon intimité déjà humide. Je jette un œil à mon flabellifère resté en suspend devant le spectacle qui s’offre à ses yeux, me regardant fixement, il accepte l’accord tacite que je lui lance et vient me rejoindre de l’autre côté du lit. S’asseyant, il prend mon autre jambe dans ses mains et entreprend lui aussi de me sucer avidement les orteils, une telle offrande ne peut que me faire gémir. Le désir me tenaille et lentement, mes mains viennent caresser mes seins aux mamelons déjà durcis. Comme un appel silencieux, le brun se détache de mon pied pour venir déboutonner ma robe, deux boutons et mes seins éclatent au grand jour, laissant apparaître une poitrine ferme et ronde qui ne demande qu’à être cajolée. Il ne se fait pas prier, et lentement ses mains douces mais fermes viennent s’en emparer, il les pétrit, les malaxe, vient goûter leur saveur d’une langue experte, faisant rouler une des pointes entre ses dents, il pince l’autre entre le pouce et l’index me faisant gémir de plus en plus. Je suis trempée et mon autre serviteur ne tarde pas à s’en apercevoir, glissant ses mains le long de ma cuisse, il s’aventure sur mon sexe humide, me titillant le clito d’une main. Il rentre un doigt, puis deux, dans mon vagin, me faisant onduler de plaisir. Tout en continuant le va et vient de ses doigts en moi, il s’abaisse et vient engloutir mon bouton entre ses lèvres, sa langue lourde et habile déclenche une tempête en moi, je veux plus, beaucoup plus !

 

Mes râles se font de plus en plus forts, ma respiration de plus en plus courte.

 

Me déshabillant complètement, ma nudité s’offre à leurs yeux. Agenouillée sur le lit, je les regarde se défaire de leurs serviettes, laissant apparaître devant mes yeux gourmands, deux magnifiques verges, longues et épaisses. Je passe ma langue sur mes lèvres et regarde le brun, lui faisant comprendre ce que je veux. Il s’avance, son odeur de mâle me rend dingue. Empoignant sa queue, je la lèche doucement, comme on fait pour une glace, de bas en haut, avec de grands coups de langue. Ses gémissements me font comprendre qu’il apprécie la chose. Je l’engloutis, le suce, de plus en plus fort, de plus en plus profondément, son sexe venant buter contre ma gorge. Je sens derrière moi la présence de l’autre homme, une de ses mains me caresse les seins, l’autre me titille le clito, s’aidant de ma mouille pour insinuer ses doigts en moi quand il en a envie. Je me balance de plus en plus sous ses doigts tortueux, son index et son majeur dans mon vagin, il insère son pouce dans mon anus, me faisant gémir de plaisir encore plus. Je ne suis plus qu’un corps affamé qui réclame sa part de sexe.

 

«  Prenez-moi !!! »

 

Ma voix est une supplique, une prière.

 

M’agrippant par les seins, le blond me redresse, pendant que le brun s’insinue entre mes cuisses. Je me soulève et vient m’empaler sur lui dans un râle, je sens sa queue dure me remplir complètement. La chatte en feu, j’ondule du bassin pour lui donner le rythme. Ma cyprine coule le long de mes cuisses. Le blond vient se coller contre moi, je sens son sexe palpiter contre mes fesses. Appuyant sur ma nuque, il m’oblige à me pencher encore plus, lui offrant ma croupe. Se tenant à mes hanches, il insère son sexe tendu à l’extrême dans mon anus, petit à petit, centimètres par centimètres, il s’avance en moi. Arrivé à la garde, il s’arrête, me laissant l’accepter doucement. Puis entame un lent va et vient, d’une lenteur exquise, celui-ci accélère, pour aller crescendo. Son acolyte vient calquer son rythme sur le sien. C’est en phase qu’ils me pilonnent, qu’ils me liment, qu’ils me prennent. Telle une harpie, j’hurle, le plaisir montant me rendant folle. Tout à coup, je m’arc-boute, tel un arc trop tendu, le corps en suspend, la tête en arrière, les membres tétanisés, le plaisir me submerge, c’est dans un râle que je le crie, que je le hurle tandis que mes 2 partenaires déchargent leur sperme en moi, inondant l’intérieur de mon corps.

 

Repue, épuisée, c’est sur le torse de l’homme brun que je reprends mes esprits.

 

Se rhabillant tous les deux, un sourire de contentement sur les lèvres, c’est avec une voix douce qu’ils me demandent :

 

«  Nous espérons, madame, que vous êtes pleinement satisfaite de la prestation de notre établissement. »

 

 

Soyez assurés que je ne manquerais pas d’y revenir !

 

                                           

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 13:46

 

Si l’amour était une couleur

Ce serait celle de tes yeux

 

               Si l’amour était une odeur

               Ce serait celle de ta peau

 

Si l’amour était un son

Ce serait celui de tes cris

 

              Si l’amour était une saveur

             Ce serait celle de ta bouche

 

Si l’amour était une musique

Ce serait celle de tes je t’aime

 

             Si l’amour était un vent

            Ce serait celui de ton souffle


Si l’amour était un lieu

Ce serait entre tes bras


            Si l’amour avait un nom

            Il n’en porterait qu’un seul…le tien

 

               

 

 

                                                           

 

 

                    à toi que j'aime....

 

    

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Jeudi 4 janvier 4 04 /01 /Jan 22:39

 

Je serai ton dessert de choix

Longuement espéré, réclamé à mi-voix

Détache-moi de mon enveloppe de cristal

Cœur d’orchidée caché par ses pétales

De tes doigts délicats, écarte mes écrans de papier

Artifices cachant une friandise tant désirée

Hume mes parfums capiteux

Promesse d’un moment licencieux

Regarde mes monts et mes vallées

Apprécie-en les pleins et les déliés

Ose toucher ces courbes maintenant découvertes

Les yeux enfiévrés, les sens en alerte

Pour toi je serais chocolat au lait

Douce et onctueuse selon tes souhaits

Je peux aussi me faire chocolat blanc

Parfum léger mais tout aussi émoustillant

Transforme-moi en chocolat noir

Goût amer et fort qui appelle le pouvoir

Laisse moi fondre au contact de tes baisers

Lèche-moi et savoure-moi au creux de ton palais

Puise à la source ma saveur sucrée

Voluptueux nectar qui fait ton régal de gourmet

Croque-moi de tous côtés

Bois-moi jusqu’à t’enivrer

Viens me rejoindre au milieu de cet écrin

Prend-moi et nous ne ferons plus qu’un

Enveloppe-moi de ton corps, de ta chaleur

Sois mon chocolat et abreuve-moi de ta liqueur

Tes va-et-vient insolents n’en ont que plus d’ardeur

Lorsque tu t’enfonces et qu’approche l’heure

De cet instant où se mélangent nos saveurs

Crie-moi, hurle-moi, le plaisir est là, enivrant

Désir absolu, orgasme affolant

Le temps s’arrête, les corps se statufiant

Vague de jouissance qui ne s’arrête pas

Donnée par un dessert dont tu ne te lasses pas

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 21:14

 

une petite présentation s'impose.....

 

Mon oiseau de paradis

Mon petit colibri

Dessiné au creux de mes seins

De mon corps tu as fait le tien

 

 

Courbes savamment esquissées

Plumes délicatement colorées

Encre de chair, dessin de peau

Tatouage éternel dont je suis le berceau

 

 

Contre mon mamelon tu te loves

De mon aréole tu as fait ton alcôve

Ta vision est un appel au plaisir

De t’embrasser chacun en a le désir

 

 

Toute bouche souhaite prendre ta place

Tout comme moi, tu aimes que l’on t’embrasse

Mais malgré toutes ces lèvres, toutes ces mains

De mes seins tu resteras le seul souverain


 

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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