quand mon esprit s'évade ....

Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 00:24

 

 

 

Quand vient la nuit et que tout est calme dehors, je me couche, seule, dans mon grand lit froid. Instinctivement, mes pensées volent vers toi, qui es loin de moi. Je ferme les yeux et t’imagine à mes côtés. Ta présence, rassurante, réconfortante. L’odeur qui émane de toi, de ton corps chaud, musquée après l’amour. Ton souffle tiède qui vient frôler ma nuque, qui me fait frissonner. Tes yeux bleus, magnifiques, océans de tendresse dans lequel je me plonge avec délice quand tu me regardes avec ce regard envoûtant, hypnotisant, lorsqu’il est rempli de désir. Tes mains qui me caressent, qui me transmettent leur douceur…

 

Tel un spectre, tu hantes mes nuits, et quand tu prends possession de mon être, mes mains deviennent les tiennes et se mettent à explorer mon corps qui te réclame, qui a faim de toi…

 

Repue, je m’endors, l’esprit léger mais mes dernières pensées, elles, volent toujours vers toi…

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Samedi 31 mars 6 31 /03 /Mars 13:03

Cela faisait maintenant plus de deux heures que nous étions au restaurant, un souper délicieux, et surtout, une complicité magnifique. Deux heures à se parler de tout, de rien, de nous. Main dans la main, yeux dans les yeux. Toi me remettant délicatement une mèche de cheveux  sur le côté afin de voir entièrement mes yeux. Moi te faisant discrètement du pied sous la table en te taquinant comme j’adore le faire. Nos jeux verbaux nous font tellement rire ! Le temps passe sans que l’on s’en rende compte, mais nos paroles se font plus chaudes, plus désirantes. Tu as envie de moi, je le lis dans tes yeux sans que tu me le dises, et je te réponds de la même façon, en te fixant si intensément que tu comprends de suite ce que j’attends de toi.

 
-  Rentrons, j’ai trop envie de toi. 

 
Tu n’as pas su me résister et tes mots fondent sur moi comme un glaçon au soleil. J’esquisse un sourire de contentement qui ne t’échappe pas, et simultanément, nous nous levons pour partir. Tu m’aides à enfiler mon manteau non sans glisser un petit baiser dans mon cou. Hummm, tu sais à quel point j’aime ça et quel effet ça me fait ! Je sens que la nuit risque d’être  longue et …… très chaude.

 
Nous marchons l’un contre l’autre, serrés, ta main sur mes fesses, essayant de s’insinuer sous ma jupe. Je me laisse faire, écartant un peu plus les jambes pour que tu y réussisses. Le contact de tes doigts sur ma peau m’électrise, je frissonne, l’onde se propageant jusqu’à mon sexe déjà humide d’envie. Arrivés à la voiture, tu me plaques, dos à la portière, sans ménagement. Une bouche avide vient s’emparer de la mienne, forçant le barrage de mes lèvres pour un baiser passionné. Nos langues se rencontrent en un ballet enfiévré et dominateur. Elle est partout à la fois. Mon palais dont tu caresses tous les sillons. Mes dents que tu sembles vouloir forer par la puissance de ton dard. L’intérieur de mes joues, tendres coussins de chair que tu apprécies particulièrement. Je ne suis plus qu’une bouche, une cavité, que tu veux remplir par ton souffle, par ta chaleur, par tes baisers.

 
Ta main trouve la voie divine de mon entrejambe…

  - non, s’il te plait, pas ici ….

 - j’ai envie de toi …

  - rentrons, je veux te faire l’amour différemment ce soir, obéis-moi, c’est ta maîtresse qui te l’ordonne !

 
A ces mots, tu sais que tu ne peux qu’acquiescer, nos jeux de maître-esclave font partie de nos amusements et quand l’un décide d’être le maître, l’autre sait qu’il doit jouer aussi !

 
Je ne résiste pas à l’envie de caresser ton pantalon où une proéminence me confirme ton état second.

 
Sur le trajet, Je veux t’exciter au maximum. Je remonte ma jupe bien haut sur mes cuisses et commence à me toucher. Tu tends ta main vers mon sexe….

 
- non, tu ne me touches pas maintenant !

 

Une lueur d’incrédulité passe dans tes yeux, tu te demandes certainement ce que j’ai encore dans la tête à ce moment là. Mais tu acceptes et remets ta main sur le volant, l’air un peu dépité, pendant que je continue à me caresser, la main dans mon string. Je glisse deux  doigts dans ma vulve et les retire tout humectés de mon nectar. Tes coups d’œil dans ma direction me font sourire, tu crèves d’envie. Je me penche vers toi et te donne mes doigts à lécher.

 
- suce, et régale-toi.

 
Tu t’empresses de t’exécuter, les dégustant avec amour, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goutte.

 
Je reprends ma place, entrouvre mon manteau et déboutonne mon chemisier, laissant apparaître ma lingerie fine, mince rempart de ma nudité. Je commence à me caresser les seins aux pointes déjà durcies. Je les prends à pleines mains, imaginant que ce sont les tiennes qui le font. Ton regard oscille entre la route, le rétroviseur et moi. On joue un jeu dangereux mais c’est tellement excitant. Ton pantalon est beaucoup trop serré pour toi, comme je te plains ! Tu avances la main vers moi, voulant m’effleurer :

 
- non ! Ce soir tu ne me toucheras pas esclave !

 
Tu reprends le volant, toujours avec cet air dépité qui me fait sourire. On est presque arrivé. Je retire ma ceinture de sécurité, la route est déserte. J’exécute un quart de tour sur mon siège et ôte une de mes chaussures. Mon pied nu débute l’ascension de ta cuisse et vient se loger dans ton entrejambe. Tu gémis. Tu es si dur. Je masse ton sexe délicatement avec mes orteils :

 
- arrête, je t’en prie, tu fais tout pour m’obséder ce soir, à quoi tu joues ?

 
- je te l’ai dit, tu es à moi ce soir et j’ai envie de te faire souffrir à ma manière.

 
Clôturant ma phrase d’un clin d’œil, je me rajuste, nous sommes arrivés.

 
Je sors la première de la voiture, te laissant le soin de la fermer à clé. J’entre et me cache dans le noir, juste à côté. Tu me suis de peu. Avant que tu ne claques la porte, c’est moi qui te colle contre le mur, brutalement. Ma bouche se fait agressive, vorace. Mes lèvres t’avalent, t’absorbent. Mes dents te grignotent. Ta langue se fait mienne, nos salives se mélangent, je t’aspire en moi, complètement, te rendant fou. Une de mes mains se met à tâter ton sexe dur, proéminent, tentant, tandis que l’autre t’arrache presque les cheveux tant le désir est fort, palpable, intense.

 
- on monte, je te veux, te dis-je dans un souffle, mais pas de mains baladeuses !

 
- je serai ton esclave docile et soumis, ma maîtresse. Fais de moi ce que tu voudras.

 

La montée de l’escalier nous semble interminable, et l’arrivée à la chambre, une bénédiction.

 
- c’est moi qui te déshabille, laisse toi faire.

 - oui, maîtresse, avoues-tu à demi mots.

 
Je commence par la veste que je jette à terre. Ta chemise que je déboutonne lentement, tout en parsemant ton torse velu de légers baisers. Hummm, tu es à moi et cela m’excite au plus haut point, m’irradiant le sexe d’une chaleur exquise. Je ne peux m’empêcher de te lécher les tétons, pépins de chair que j’adore. Ils sont durs, déjà tous racornis, et les croquer, les mordiller est, pour moi un délice. Je passe ta chemise par-dessus tes épaules, ne résistant pas à l’envie de les mordre, laissant l’empreinte de mes dents dans ta chair. Hummm, tu gémis de plus belle. Jouant les vampires, je te grignote le cou, en remontant jusqu’aux oreilles, y enfournant la langue, suivant les sillons du pavillon, tétant le lobe, telle une mamelle.

 
Te voici à demi nu. Je défais les boutons de ta braguette, un à un. Mes mains s’insinuent de chaque côté de ton bassin et font descendre ton pantalon, lentement. Suivant le mouvement, je m’agenouille devant toi, prenant bien soin de me frotter tout contre ton corps pendant la durée interminable de ce moment, mes seins se collant à toi, creusant deux ornières irréelles sur ta peau. De mon menton, je viens caresser ton sexe à travers le fin tissu de ton boxer. Tu amorces un mouvement de bassin dans ma direction…. Non, pas tout de suite mon chéri, prends patience.

 
Te voilà en sous-vêtements, plus pour longtemps. Je reste agenouillée devant ta virilité, l’entourant de mon souffle chaud. Je devine qu’il palpite sous cette prison de tissu. Abaissant langoureusement ton boxer, je le laisse enfin respirer à l’air libre. Il est là devant moi, mât de chair, bâton de plaisir. Une vague de chaleur envahit mon intimité déjà ruisselante.

 
- assieds-toi sur la chaise, mon esclave aimant.

 
Tu m’obéis docilement pendant que je me penche sous le lit pour en sortir mon «  coffre à jouets ». J’en sors une paire de menottes. Tu croises les mains dans ton dos et je les attache au dossier, te laissant les jambes libres. A l’aide d’un foulard noir, je te bâillonne, marionnette muette et soumise de mes moindres désirs. Je m’éloigne de toi, satisfaite, regardant ton regard implorant. Il est temps de m’amuser maintenant.

 
Enclenchant une musique imaginaire, j’entame une danse lascive et sensuelle, ondulant du bassin, me caressant lentement. J’ôte délicatement mes escarpins, mes vêtements l’un après l’autre. Mon chemisier d’abord, faisant ressortir mes courbes, puis ma jupe. Me plaçant dos à toi, je me cambre au maximum, tout en la faisant glisser le long de mes fesses, laissant apparaître mon string et mes bas. Toujours de dos, je dégrafe mon soutien-gorge, le jetant à travers la pièce. Je me caresse les fesses, je sens ton regard me pénétrer, s’immiscer en moi.

 
Je me  retourne, les mains sur les seins. Je te regarde en les massant, je les pétris, les malaxe, j’en pince les pointes érigées en gémissant. Finalement, je les lâche pour descendre plus bas, vers mon ventre. Je te fixe du regard, guettant la moindre expression sur ton visage lorsque je glisse ma main dans mon string et que j’en ressors un doigt enrobé de mon jus. Je m’empresse de le lécher, comme j’en ferais avec ta queue. J’effectue des va et vient avec mon index, mimant une fellation. Tu plisses les yeux de désir. Je me retourne à nouveau pour me débarrasser de ma lingerie. Comme pour la jupe, je me cambre au maximum pour t’offrir la vue magnifique de ma chute de rein. J’écarte bien les jambes, je sais que tu regardes mon sexe, je sais que tu crèves de désir. Je t’offre ma nudité, ma chatte entièrement épilée, douce comme la soie. La tête en bas, j’entrouvre largement mes fesses, te faisant admirer mon petit trou et mon sexe entièrement ouvert. Je ne résiste pas à l’envie d’y enfourner 2 doigts. Hummm, c’est tellement bon. Un troisième les rejoint, les enfonçant profondément en moi. Je me redresse et me mets face à toi, léchant à nouveau avidement mes doigts couverts de mon jus. Il est temps de passer aux choses sérieuses.

 
M’allongeant sur le lit, je me caresse paresseusement. D’abord les seins dont je titille les pointes, dessinant de délicates arabesques du bout des doigts, glissant le long de mon corps pour arriver en mon antre. Je suis le tracé de mes lèvres ourlées, apprécie la douceur de ma vulve, la dureté de mon bouton d’amour. Je le pince entre mes doigts, me faisant gémir profondément. Je le serre entre mon pouce et mon index, le vrille, l’arrachant presque de son écrin de chair, mais j’en veux plus …

 
Je m’empare d’un gode bleu, plutôt long et large. Je l’approche de ma bouche, je sais que tu me contemples et ne perds pas une miette du spectacle que je te donne. Je l’introduits dans ma bouche, l’aspirant, le suçant comme si c’était ta queue que j’avais en mon palais. Je le savoure, le déguste, m’en régale. Plongeant deux doigts dans ma vulve trempée, je sais qu’elle est prête à le recevoir. J’attrape le gode à deux mains et l’enfonce d’un coup sec dans mon sexe, m’arrachant un cri de douleur et de plaisir en même temps. Je le sens en moi, me comblant entièrement. Je contracte mes muscles pour en apprécier la matière. Hummm, c’est divin. Je débute de lents va et vient, le faisant quasiment ressortir pour l’enfoncer encore plus loin, encore, et encore, et encore …

 
Je t’observe. Tu as les yeux fixés sur ma chatte, ton sexe tendu comme un arc, tremblotant, implorant presque ma miséricorde, comme un appel de détresse. Laissant le gode dans son orifice, j’en prends un autre, un plug. Celui-là aussi je le suce, comme je l’ai fait avec l’autre, comme j’ai envie de le faire avec ta queue. Une fois bien enrobé de ma salive, je le dirige vers mon petit trou, rien qu’un léger contact avec le latex m’électrise. J’écarte bien les jambes et le pousse avec infiniment de soin, millimètres  par millimètres. Hummm, c’est bon. En quelques secondes, l’olisbos se retrouve coincé dans mon anus. J’adore cette sensation d’être complètement remplie des deux côtés. Un godemiché dans chaque main, j’entreprends à nouveau des va et vient, désynchronisés. Quand l’un rentre, l’autre ressort, c’est une véritable torture. Je sens le plaisir monter au creux de mes reins, venir me vriller de sa force. Soudain, un cri rauque déchire le silence de la chambre. Je me cambre sous sa puissance, je me tétanise. Un hurlement s’échappe de ma gorge, submergée par l’orgasme. Aaaaaaaaaaaaaaaah…….

 
La tension retombe, le calme reprend sa place en moi. Je t’observe. Tu as les yeux embués de larmes, le visage troublé comme s’il me remerciait en silence. Je me relève et m’avance vers toi. Je tombe à tes genoux, il est temps de te délivrer, mon amour. J’approche ma bouche de ton sexe. Je le sens sur le point d’exploser. Je l’embrasse doucement, bâton de chair si doux à mes lèvres, puis tes bourses, si délicates. Je les couvre de baisers humides, emplis de ferveur. Je lèche enfin ta queue, d’abord le bas, puis ma langue remonte le long de la hampe. Je devine par tes gémissements que tu ne tiendras plus longtemps, le désir étant à son paroxysme. Je t’avale d’un coup, enroulant ma langue autour de ton gland,  rosé, suintant. Mes lèvres coulissent le long de ce pieu, humides, chaudes, expertes. Je te suce doucement d’abord, pour savourer toute sa saveur, puis, j’accélère le mouvement, le faisant cogner contre ma gorge. Tout à coup, un gémissement plus fort que les autres, ma main vient se lover contre tes boules, les caressant, les pressant, je sens le spasme déferler du bas de ton ventre. Ta semence gicle dans ma bouche en longs jets brûlants et sirupeux. Je t’avale avec passion, avec amour, dégustant cette offrande que tu m’accordes. Je n’en perds pas une goutte, je veux te boire entièrement…

 

Le feu s’éteint doucement, je me relève et viens m’asseoir à califourchon sur toi. Je te retire ton bâillon. Les yeux dans les yeux, juste quelques mots …

 
…… je t’aime….

                               

 

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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 23:32

Entre mes cuisses, tu es allongé

Haletant, ton corps enfiévré

A mon oreille, flottent tes soupirs

Dans mon cou, lentement, ils viennent mourir

 

 

Tendrement imbriqués, nos peaux soudées

Notre ardeur terminée nous laisse vidés

Au creux de mes seins, tu te reposes

Le cœur léger, les paupières closes

 

 

Mes mains, captivées par ta chaleur

Effleurent ton corps, îlot de douceur

En vagues successives, marée imaginaire

Houle voluptueuse pénétrant tes chairs

 

 

Ne cessant de te toucher, de te frôler

Peu à peu mes caresses viennent t’éveiller

Tu lèves la tête et les yeux dans les yeux

Tu me fais frissonner d’un baiser langoureux

 

 

Mes doigts glissent de tes fesses à ton dos

Tandis que tes mains cajolent ma peau

D’un même mouvement, nimbé de délicatesse

Nous nous enfermons dans cette bulle de tendresse…

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


 


Si tu savais à quel point tu me manques ...


 

 

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Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 22:33

tu es couché sur le dos, je viens au-dessus de toi
mes cheveux viennent chatouiller tes épaules
ma langue lèche le pourtour de ta bouche
rentre à l'intérieur chercher ta langue
nos lèvres se scindent en un baiser fougueux
ma bouche parsème ton visage de lègers baisers
les yeus, le nez, les joues...
mon visage vient se nicher dans ton cou, y cherchant sa chaleur
je glisse ma langue dans ton oreille après en avoir sucé le lobe
mon visage descend le long de ton cou
tout en continuant à l'embrasser
tu sens mes seins frotter contre ton torse
j'embrasse ta gorge
tes épaules...
je viens m'attarder sur tes tétons que je mordille doucement
ma main s'aventure sur ta fesse
caresse la peau tendre de l'intérieur des cuisses
je descends encore
viens enfourner ma langue dans ton nombril pendant
que mes seins caressent ton sexe déjà tendu
je descends encore...
tu sens mon souffle chaud entre tes cuisses
j'embrasse l'aine
l'intérieur des cuisses
tu écartes un peu plus les jambes
de mon nez je viens caresser tes boules
respirer ton odeur de mâle
de timides coups de langue débutent
lègers sur le scrotum
ils se font plus appuyés, plus avides
mon nez caresse ton sexe en même temps
je mouille tes boules de ma salive
les aspirant dans ma bouche
une fois bien humides, je monte plus haut
ma bouche frole la hampe de ton sexe
à peine aspiré
je l'embrasse
en apprèciant sa douceur
j'en attrape la peau fine entre mes lèvres chaudes
arrivée au gland, je l'embrasse doucement lui aussi
tandis que ma main caresse tes boules laissées seules
gorgée de salive ma bouche s'entrouvre pour l'aspirer en elle
je le coince entre mon palais et ma langue
le suçotte comme un bonbon
ma langue tourne autour du gland
titille le frein
redescend le long de la hampe
la lèche sur toute sa longueur
comme un sucre d'orge
encore
et encore
et encore
en accélérant
je l'enfourne en entier dans ma bouche
je le sens cogner au fond de ma gorge
ma langue vient insister sur le bout du gland
ma main attrape ton sexe
et commence à le branler doucement
je te suce du bout des lèvres
et te branle en même temps
calquant le rythme de ma main sur celui de ma bouche
je redresse la tête tout en te gardant en bouche
et te regarde droit dans les yeux
j'oscille de la tête en te suçant voracement
j'accélère...
je te sens venir
je te branle de plus en plus vite
ton sexe inondé de ma salive
il coulisse facilement entre mes lèvres
nimbé de la chaleur moite de ma bouche
je me cambre pour que tu puisses voir mes fesses
et te régaler de cette vue...

jouis dans ma bouche........

                                                

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 14:32

Comme souvent, tu m’annonces que tu me laisses pour aller prendre ta douche et je sais ce que cela signifie…

 

 

Je m’imagine souvent partager ce moment avec toi…

 

 

J’arriverais nue à la porte de la salle de bains, écoutant le bruit de l’eau. J’ouvrirais lentement la porte, savourant la vue qui s’offre à moi. Je te verrais dans cette cabine de douche, l’eau chaude ruisselant sur ton corps musclé. Je m’approcherais silencieusement, hypnotisée par la danse de ta main sur ton sexe en érection. Tu aurais les yeux fermés. Peut-être penserais-tu à moi, à ces photos que je t’envoie, imaginant mes doigts ou ma bouche à la place de ta main, je ne sais pas …

Je me placerais face à la cabine, enveloppée de cette vapeur qui se colle à ma peau, me faisant transpirer.

J’aurais envie de toi… j’aurais envie de moi…

J’entrouvrirais les jambes pour y glisser mes doigts. Ma chatte serait déjà bien humide. Mes caresses se concentreraient sur mon clito en éveil. Je l’écraserais sous la pulpe de mes doigts, le faisant rouler, le pinçant pour en retirer un maximum de plaisir.

Toi, tu ne m’aurais pas encore vue. J’observerais les va et vient que tu ferais de ta main. Malgré le bruit de l’eau, je pourrais entendre tes gémissements feutrés, se mélangeant aux miens.

Enfin, tu t’apercevrais de ma présence et tournerais ton visage vers le mien. Nous nous observerions en silence quelques instants, chacun fixant le sexe de l’autre. Puis tu ouvrirais la porte de la cabine de douche, m’invitant à t’y rejoindre. Instantanément, je me loverais contre toi, mes seins s’écrasant contre ton torse velu. Nos lèvres se souderaient en un baiser passionné, ta langue venant chercher la mienne, nos salives se mélangeant. Je te sucerais la langue comme j’aurais envie de te sucer la queue.

- prends-moi !

Tu n’attendrais que ces mots.

Tu me collerais au mur de la douche, l’eau ruisselant sur nos deux corps enfiévrés. Tu attraperais ma jambe gauche pour la crocheter à ta hanche et t’enfoncerais d’un coup sec en moi.

Hummmmmmmmm

Nous ne serions que deux corps enchevêtrés, deux animaux en chaleur. Je sentirais ta queue aller et venir dans mon sexe, tes coups de reins de plus en plus forts, toujours plus profonds en moi.

Tu parsèmerais mon visage et mon cou de baisers, tantôt doux, tantôt torrides, alternant les caresses de tes lèvres à la morsure de tes dents. Je te grifferais le dos tant le moment est intense. Tu me ferais l’amour sauvagement, comme une bête en furie, empalée sur ton sexe.

Je crierais de plus en plus fort, le plaisir étant exponentiel.

- viens avec moi, te dirais-je dans un souffle, laisse-toi aller, viens…

Nos cris se mélangeraient, l’onde se propageant dans nos corps. Je sentirais ta queue gicler en moi, m’inondant de sa semence chaude et lactée. J’hurlerais dans ton cou en m’accrochant à toi, te mordrais les épaules, y laissant ma trace.

Chacun reprendrait ses esprits dans les bras de l’autre, doucement, laissant la petite mort faire son effet. On terminerait en se lavant mutuellement, les mains de l’un savonnant le corps de l’autre…

 

 

Mais tout cela n’est qu’un rêve…

Dommage que la téléportation n’existe que dans star trek ….

 

                              pour toi mon lio...

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Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 23:47

 

On se dit, elle est cool celle-là

Toujours riante, un charmant minois

Un humour qui fait des dégâts

Mais chez moi il fait froid …

 

 

Je sors, je fais la nouba

Une soirée ici, une autre au cinéma

Quitte à me prendre pour une diva

Mais chez moi il fait froid …

 

 

Je ne veux pas qu’on me traite de rabat-joie

Mais c’est vraiment difficile le célibat

C’est pour ça que je le dis à mi-voix

Mais chez moi il fait froid …

 

 

Je me demande pourquoi

Le bonheur ne pense pas à moi

Pourquoi à mon cœur il a mis un cadenas

Mais chez moi il fait froid …

 

 

Rien qu’un peu plus d’éclat

Un même corps tous les soirs dans mes draps

Me sentir vivante pendant nos ébats

Mais chez moi il fait froid …

 

 

Il y a bien une présence quelquefois

Des êtres chers qui me donnent de la joie

Des gens aimés qui me serrent dans leurs bras

Mais chez moi il fait froid …

 

 

La solitude est un repli sur soi

Peut-être causera-t-elle mon trépas

Seul l’amour me réchauffera

Mais chez moi ….. mon cœur a toujours froid ….

                          

Par colibri - Publié dans : quand mon esprit s'évade ....
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 19:22

Maximus Demetrius est un soldat. Un général même, dans la glorieuse armée de César. Brun, les yeux bleus, un corps d’athlète. Il s’est rendu célèbre autant par sa bravoure que par son succès auprès des nombreuses romaines esseulée de la capitale. Mais à cette heure, Maximus n’est plus qu’un prisonnier. C’est en pleine nuit que d’étranges individus se sont introduits chez lui, l’ont bâillonné, ligoté, et lui ont bandé les yeux. Pourquoi étranges ? Parce que malgré l’opposition féroce dont il a fait preuve, à aucun moment ceux-ci n’ont répliqué, jamais ils ne l’ont touché. Son corps nu et musculeux est vierge de toute ecchymose. Transporté à toute vitesse dans un char, le corps enroulé dans des couvertures, le visage fouetté par le vent, il ne peut qu’attendre sa destiné en priant les dieux de lui laisser la vie sauve, comme avant chaque bataille.

 

 

L’attente est interminable, la distance incalculable, une éternité semble s’être s’écoulée avant que le char ne s’arrête enfin. Des bruits de pas sur du gravier et ses ravisseurs s’emparent encore une fois de lui. Il tente bien de se débattre mais ses liens lui empêchent tout mouvement. Précautionneusement ils le soulèvent et le transportent dans un endroit humide où leurs pas trouvent de l’écho. Une grotte. Les sens aux aguets, il étudie chaque détail lui permettant de savoir où il est, et même, ce que l’on risque de faire de lui.

 

 

Enfin, au bout de quelques minutes, une chaleur se fait sentir, l’impression d’entrer dans une salle chauffée. Le crépitement caractéristique d’une torche le confirme. A sentir la chaleur ambiante, elles doivent être  nombreuses même. D’un mouvement commun, les ravisseurs le soulèvent et le déposent délicatement sur une grande surface plane, recouverte d’une épaisseur de tissu. A tâtons, ses doigts entrent en contact avec ce qui semble être de la fourrure, douce, épaisse et soyeuse. Une odeur d’encens flotte dans l’air. Où est-il ?

 

Que veut-on de lui ? On aurait pu le tuer cent fois ! Par Jupiter, serait-il tombé au royaume des morts ? Un mari jaloux ou un adversaire trop belliqueux aurait-il invoqué les dieux pour avoir sa perte ? Les bras en croix, les jambes écartées, c’est les membres entravés qu’il songe à tout cela.

 

 

Un silence pesant s’installe. Les hommes de l’ombre sont partis. Seuls, les battements de son coeur se font entendre. Soudain, un bruit de pas, plus légers ceux-là. Un autre bruit, plus métallique, comme des objets qui s’entrechoquent. Des armes ? Deux personnes se mettent de chaque côté de lui, ce sont leurs respirations qui lui apprennent. Sa fin est proche, il le sent. Les muscles tendus, il est prêt à mourir. Mais quelle n’est pas sa surprise lorsque, au lieu de sentir une lame, c’est une sorte d’éponge, humide et odorante qu’il sent sur ses membres. Non, ce n’est pas possible, pense-t-il, on le lave !

 

 

L’eau est chaude, le parfum délicieux, les gestes lents et précis. Aucune parcelle de son corps n’est négligée. Ses jambes, ses bras, son torse aux muscles saillants, ses cuisses, jusqu’à son entrejambe et son sexe, dont ses «  laveurs »  s’occupent soigneusement, ce qui n’est pas sans intriguer Maximus. Ainsi nettoyé et essuyé, c’est la tête pleine d’interrogations qu’il entend les pas s’éloigner, le laissant de nouveau seul et sans défense.

 

Et l’attente recommence, lente, lancinante, inquiétante.

 

 

D’un coup, son esprit est attiré par quelque chose. Parvenue jusqu'à ses narines, une fragrance délicate se détache de l’air ambiant. Il n’arrive pas à deviner ce que c’est exactement, un mélange de rose, de lavande, de myrrhe peut-être. Plus il essaie de savoir, plus elle devient entêtante, envoûtante. Il perçoit une présence près de lui. Une respiration, un souffle, un murmure. Il tend l’oreille mais ne comprend pas. Un déplacement d’air près de lui. Comme un spectre qui se déplace. Soudain, un contact sur son mollet. La sensation est légère, diffuse, comme un voile. Cela remonte le long de sa cuisse, effleure son entrejambe, continue sur son torse, termine sa course sur son visage. Le parfum est maintenant lourd, palpable, divin. A n’en pas douter, c’est un tissu imprégné de cette odeur qui se joue de lui. Un parfum de femme. Une femme. Serait-il tombé entre les griffes d’une harpye ou d’une succube ? Son cœur s’accélère encore à cette pensée.

 

 

Encore un murmure. Plus audible celui-là :

 

 «  Maximus……… Maximus…….. N’ai pas peur……… Maximus………. je ne te veux aucun mal…. »

 

 

Cette voix.

 

Ce souffle.

 

Cette plainte lui donne des frissons sur tout le corps. Un timbre doux et délicat, certainement pas celui d’un démon ! Quelque chose retouche son mollet. Non plus un tissu, mais comme une chatouille. Son cerveau est en ébullition pour deviner ce que c’est. Pas un objet. Un doigt. Non, plusieurs doigts. Une main même. Cette main de femme le caresse. Il n’arrive pas à y croire. Ses doigts sont aériens, doux. Un délice. Ils glissent sur sa peau. Le genou qu’ils contournent. La cuisse, où la main se fait plus appuyée. L’entrecuisse, qu’elle survole sans y toucher. Le ventre, qu’elle masse de façon plus insistante, comme pour s’en imprégner. Lentement, elle remonte sur son torse, arrive à son téton qu’elle effleure de ses ongles, ils tournent autour, puis, s’agrippent à lui. Le pincement de celui-ci lui procure un doux plaisir, tandis qu’un mince gémissement essaie de s’échapper de sa bouche muette. Tant de douceur ne peut empêcher son sexe de s’éveiller lentement. Telle une tige sortant de terre, il se dresse peu à peu vers les cieux, comme pour implorer les dieux de lui accorder l’offrande de ce corps de femme. Un murmure d’approbation sort de sa bouche, elle a dû s’en apercevoir. Sa main disparaît. Est-elle déçue ? Est–elle partie ?

 

 

Un froissement. Comme un tissu qu’on chiffonne. Ses mains reviennent sur ses mollets. Glissent sur ses cuisses. Un autre contact chaud de chaque côté de ses jambes. Comme…. des genoux. Oui, ses genoux. Elle est montée à califourchon au-dessus de lui, au-dessus de ses jambes. L’excitation grandit. Son sexe est dur. Une douce pointe chaude et humide vient graviter sur son genou. Une langue. Sa langue. Lentement, elle remonte le long de la cuisse. Il transpire. Il  halète. Son cœur bat la chamade. Elle dessine d’exquises arabesques sur la peau moite de son entrejambe, vient s’attarder dans l’aine, et glisse langoureusement sur ses bourses. Ce simple contact charnel l’électrise. Elle entreprend de les lécher consciencieusement, l’une après l’autre, les gobant tour à tour selon son bon vouloir. Sa langue est infernale, sa bouche divine. Sa main vient rejoindre son ballet buccal, pour caresser les testicules humides de salive. La pointe de chair commence son ascension vers le sexe tendu à l’extrême. Du plat de la langue, elle lèche toute la hampe de sa base jusqu’au gland, qu’elle enroule de son organe buccal tel un serpent. Elle tourne, tourne et retourne encore autour, pour ensuite redescendre le long de ce mât. Remonter et redescendre. Remonter et redescendre. Sa langue est partout à la fois, comme s’il y en avait plusieurs. La torture est exquise. Un étau de chair s’y referme, les lèvres chaudes le gobent littéralement. Un souffle rauque sort du bâillon, il a envie de crier mais le tissu l’en empêche. Il sent son sexe être aspiré, comme si elle voulait en prendre toute l’énergie, elle le suce avidement, goulûment, comme un être affamé de désir, comme si c’était la toute dernière fois.

 

 

 Elle bouge, affirme son assise autour de ses cuisses. Tandis que sa main continue de masser ses bourses, son autre main vient enserrer son membre. Il en est prisonnier. Ses doigts viennent se calquer sur le va et vient que fait la bouche. Elle le branle rapidement, alors que son phallus cogne au plus profond de la gorge de sa torturante. Son ventre est en feu, son plaisir au paroxysme. Il hurle intérieurement de ne pas pouvoir la contempler, de voir cette bouche qui lui donne autant de jouissance, d’y voir son sexe coulisser entre ses lèvres humides et chaudes. La rage au cœur, il  crève de la posséder, de la prendre, ou qu’elle, elle le prenne.

 

 

Comme s’il avait été entendu, au bord de l’éjaculation, elle arrête de le sucer, mais sa langue reste en mouvement. Elle remonte sur le ventre, vient fouiller le nombril, alternant léchages et tendres baisers mouillés. Elle arrive aux tétons qu’elle vient agacer de sa pointe, les prend entre ses dents et les mordille jusqu’à lui faire murmurer sa douleur. Ses baisers reprennent leur ascension jusqu’à la gorge qu’elle mord encore, telle une vampire. La douleur est divine. A sa surprise, sa main retire le bâillon d’un geste doux et, immédiatement, avant que tout son ne s’échappe de sa bouche libérée, elle vient y coller la sienne. Elle a un goût de miel, sa langue douce comme la soie, un ballet sensuel commence entre les deux organes, comme une joute amoureuse, les salives se mélangent, ils se font l’amour avec leurs bouches.  Il a envie de la prendre dans ses bras, de la caresser, de goûter chaque parcelle de sa peau.

 

 

 Tout en continuant de l’embrasser, elle vient frotter son sexe humide de désir sur le membre tendu du prisonnier. La caresse est précise, il devine son clitoris gonflé et sa vulve trempée de son suc. Il la veut. D’un lent mouvement, elle se place juste au-dessus du gland, et se laisse empaler doucement, centimètres par centimètres, comme pour en apprécier chaque seconde. Elle gémit. Elle se penche et donne ses pointes de seins durcies par le plaisir à téter, ce qu’il fait férocement, il les mange, les dévore, les mord jusqu’à la faire crier. Son cri résonne dans la grotte. Elle s’agite maintenant, accélère son mouvement, le chevauche avec rapidité, son sexe rentrant et sortant à une vitesse telle qu’il ne pourra pas résister longtemps. Malgré ses membres entravés, il lui donne des coups de reins brutaux, essaie de la pilonner, de la pénétrer au plus profond de son être.

 

 

«  Je veux te voir, je veux te voir !  »  Hurle-t-il.

 

Ils gémissent en duo, ne sont plus que 2 corps avides de jouissance. Elle crie de plus en plus, il la sent venir, tout comme il se sent venir à son tour.

 

«  Je veux te voir jouir ma déesse ! »

 

 

Comme par magie, le bandeau s’envole, découvrant ses yeux. La vision qui s’offre à eux est paradisiaque. Devant lui apparaît la plus belle femme qu’il ait jamais vue, la peau dorée, les yeux aussi bleus que le ciel de Toscane, les longs cheveux couleur des blés, c’est une apparition enchanteresse, et elle décuple encore plus son désir. Bouche contre bouche, elle l’aspire en elle, le boit, le dévore. Son antre humide l’enserre tel un écrin de velours.

 

 

Soudain, deux hurlements synchronisés déchirent le silence. Elle tend son corps à l’extrême tandis qu’il se vide en elle en de longs jets brûlants, l’inondant de sa semence.

 

 

Haletants, ils reprennent leur esprit l’un sur l’autre.

 

«  Détache-moi. » demande-t-il.

 

La voix encore saccadée, elle lui répond :

 

«  Je t’ai voulu Maximus, et quand une déesse veut, elle obtient. »

 

Posant sa main sur son épaule gauche, une vive douleur se fait sentir, lui arrachant une plainte. Lorsqu’elle l’eut retirée, un V y était inscrit, comme marqué au fer blanc.

 

«  Désormais tu m’appartiens, et quand j’en aurais le désir, tu viendras à moi.»

 

Il sut à cet instant qu’aucune autre femme ne lui procurerait autant de plaisir qu’elle. Il serait sa chose pour l’éternité, esclave d’une déesse aimante et aimée en retour.

 

Vénus…

 

                                                       

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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 23:58

 

 

Il m’arrive certains soirs

De ranger ma tendresse au placard

Et de remplacer les mots doux et sucrés

Par d’autres plus crûs, plus orduriers

Prude et timorée, entre tes mains

Je deviens la plus perverse des catins

De ma raison faire le sacrifice

Pour notre plaisir, t’offrir tous mes orifices

Plus de tabou ni de retenue

Je te donne tout, mets mon âme à nu

A quatre pattes tes cuisses contre les miennes

Ton sexe en moi, n’être que ta chienne

J’aime te sucer longuement tel un sucre d’orge

Et sentir ton sperme s’écouler dans ma gorge

Je suis ta chose, à tes pieds je dépose tout mon être

Toi, que j’appelle amoureusement … mon Maître

                

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Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 19:21

 

Alanguie sur le lit, il fait chaud. Il est 15h, la chaleur est au maximum en ce lourd après-midi de juillet. Je porte cette petite robe jaune transparente, presque diaphane, qui laisse deviner la totalité de mes formes. Formes libérées puisque je ne porte rien dessous. Largement déboutonnée sur le haut, elle ne cache rien de mon décolleté plongeant. Il fait chaud….très chaud…..trop chaud, même la lecture du roman que j’ai entre les mains ne peut m’empêcher d’y penser. Je décroche le téléphone :

 

«  Ici la chambre 14, j’aimerais qu’un homme vienne me rafraîchir, s’il vous plait.

 

- bien sur madame, il sera là d’ici quelques minutes. »

 

Je me replonge dans mon bouquin et, effectivement, en moins de 5 minutes, on frappe à la porte :

 

«  Madame, je viens pour vous rafraîchir.

 

- entrez ! »

 

La porte s’ouvre lentement et laisse apparaître un homme d’une vingtaine d’années, blond, avec les cheveux mi-longs, et une carrure qui n’a rien à envier à un catcheur. Ses yeux bleus me fixent intensément, il est craquant. Fermant la porte derrière lui, il tient à la main une sorte de grand éventail en plumes d’autruche, comme ceux que l’on voit sur les tableaux antiques. Se plaçant à côté de moi, il commence son balancement de haut en bas, tout en regardant ailleurs. La fraîcheur commence à se faire sentir, mais ce beau mâle me donne encore plus chaud. Levant les yeux de mon livre, je le détaille du regard, il n’est vêtu que d’une fine serviette blanche qui lui enserre la taille, et je passe ma langue sur mes lèvres rien qu’en essayant de deviner se qui se cache dessous.

 

Nos regards se croisent, esquissant un léger sourire, il me demande : 

 

« Madame apprécie-t-elle son rafraîchissement ?

 

- oui mais j’ai encore très chaud.

 

- madame veut-elle que je lui commande un autre rafraîchissement ?

 

- avec plaisir, j’aimerais bien un thé glacé. »

 

Décrochant le téléphone, il commande à la réception et me dit que ma boisson arrivera sous peu. Il revient se placer à côté de moi et se remet à balancer lentement son éventail, tout en me regardant plus souvent, je sens son regard sur moi, et ça me donne des picotements entre les cuisses, humm c’est délicieux.

 

On frappe, c’est mon thé. Mon flabellifère ouvre la porte sur un homme brun, les cheveux courts, à la carrure d’athlète, portant un plateau, il est vêtu de la même façon que l’autre, mais ce sont ses yeux d’un bleu acier qui me donnent des frissons. Il s’agenouille prés de moi, me tendant le verre givré où flottent des glaçons. Reposant mon livre, je me délecte de ce nectar qui me rafraîchit instantanément. Tandis que mon porte éventail reprend sa place, je continue à boire devant l’autre homme toujours à mes genoux.

 

Lui tendant mon verre, je lui demande de me refroidir encore plus. Se saisissant d’un glaçon, il commence à le faire glisser sur mes mollets, j’en frissonne de plaisir, il remonte le long de ma jambe, jusqu’à ma cuisse, là, il s’arrête, et va vers mon bras, glisse le long de celui-ci, jusqu’à l’épaule, la gorge, et descend sur ma poitrine pour s’arrêter entre mes seins. Je sens l’eau glisser entre les deux, me donnant des frissons, frissons se propageant jusqu’à mon sexe, il a faim, et salive déjà du repas que je vais lui donner.

 

Je me mets sur le dos, jambes légèrement écartées, d’un regard je vois que mes 2 serviteurs sont déjà assez excités, vu la bosse proéminente de dégageant du pagne qu’ils portent. Mon pied gauche vient flatter les pectoraux de mon glacier, il s’en saisit et commence à me sucer les orteils, d’abord les petits, puis le gros qu’il suce intensément. Ses mains glissent le long de ma jambe, s’aventurent sur ma cuisse, effleurent mon intimité déjà humide. Je jette un œil à mon flabellifère resté en suspend devant le spectacle qui s’offre à ses yeux, me regardant fixement, il accepte l’accord tacite que je lui lance et vient me rejoindre de l’autre côté du lit. S’asseyant, il prend mon autre jambe dans ses mains et entreprend lui aussi de me sucer avidement les orteils, une telle offrande ne peut que me faire gémir. Le désir me tenaille et lentement, mes mains viennent caresser mes seins aux mamelons déjà durcis. Comme un appel silencieux, le brun se détache de mon pied pour venir déboutonner ma robe, deux boutons et mes seins éclatent au grand jour, laissant apparaître une poitrine ferme et ronde qui ne demande qu’à être cajolée. Il ne se fait pas prier, et lentement ses mains douces mais fermes viennent s’en emparer, il les pétrit, les malaxe, vient goûter leur saveur d’une langue experte, faisant rouler une des pointes entre ses dents, il pince l’autre entre le pouce et l’index me faisant gémir de plus en plus. Je suis trempée et mon autre serviteur ne tarde pas à s’en apercevoir, glissant ses mains le long de ma cuisse, il s’aventure sur mon sexe humide, me titillant le clito d’une main. Il rentre un doigt, puis deux, dans mon vagin, me faisant onduler de plaisir. Tout en continuant le va et vient de ses doigts en moi, il s’abaisse et vient engloutir mon bouton entre ses lèvres, sa langue lourde et habile déclenche une tempête en moi, je veux plus, beaucoup plus !

 

Mes râles se font de plus en plus forts, ma respiration de plus en plus courte.

 

Me déshabillant complètement, ma nudité s’offre à leurs yeux. Agenouillée sur le lit, je les regarde se défaire de leurs serviettes, laissant apparaître devant mes yeux gourmands, deux magnifiques verges, longues et épaisses. Je passe ma langue sur mes lèvres et regarde le brun, lui faisant comprendre ce que je veux. Il s’avance, son odeur de mâle me rend dingue. Empoignant sa queue, je la lèche doucement, comme on fait pour une glace, de bas en haut, avec de grands coups de langue. Ses gémissements me font comprendre qu’il apprécie la chose. Je l’engloutis, le suce, de plus en plus fort, de plus en plus profondément, son sexe venant buter contre ma gorge. Je sens derrière moi la présence de l’autre homme, une de ses mains me caresse les seins, l’autre me titille le clito, s’aidant de ma mouille pour insinuer ses doigts en moi quand il en a envie. Je me balance de plus en plus sous ses doigts tortueux, son index et son majeur dans mon vagin, il insère son pouce dans mon anus, me faisant gémir de plaisir encore plus. Je ne suis plus qu’un corps affamé qui réclame sa part de sexe.

 

«  Prenez-moi !!! »

 

Ma voix est une supplique, une prière.

 

M’agrippant par les seins, le blond me redresse, pendant que le brun s’insinue entre mes cuisses. Je me soulève et vient m’empaler sur lui dans un râle, je sens sa queue dure me remplir complètement. La chatte en feu, j’ondule du bassin pour lui donner le rythme. Ma cyprine coule le long de mes cuisses. Le blond vient se coller contre moi, je sens son sexe palpiter contre mes fesses. Appuyant sur ma nuque, il m’oblige à me pencher encore plus, lui offrant ma croupe. Se tenant à mes hanches, il insère son sexe tendu à l’extrême dans mon anus, petit à petit, centimètres par centimètres, il s’avance en moi. Arrivé à la garde, il s’arrête, me laissant l’accepter doucement. Puis entame un lent va et vient, d’une lenteur exquise, celui-ci accélère, pour aller crescendo. Son acolyte vient calquer son rythme sur le sien. C’est en phase qu’ils me pilonnent, qu’ils me liment, qu’ils me prennent. Telle une harpie, j’hurle, le plaisir montant me rendant folle. Tout à coup, je m’arc-boute, tel un arc trop tendu, le corps en suspend, la tête en arrière, les membres tétanisés, le plaisir me submerge, c’est dans un râle que je le crie, que je le hurle tandis que mes 2 partenaires déchargent leur sperme en moi, inondant l’intérieur de mon corps.

 

Repue, épuisée, c’est sur le torse de l’homme brun que je reprends mes esprits.

 

Se rhabillant tous les deux, un sourire de contentement sur les lèvres, c’est avec une voix douce qu’ils me demandent :

 

«  Nous espérons, madame, que vous êtes pleinement satisfaite de la prestation de notre établissement. »

 

 

Soyez assurés que je ne manquerais pas d’y revenir !

 

                                           

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Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 13:46

 

Si l’amour était une couleur

Ce serait celle de tes yeux

 

               Si l’amour était une odeur

               Ce serait celle de ta peau

 

Si l’amour était un son

Ce serait celui de tes cris

 

              Si l’amour était une saveur

             Ce serait celle de ta bouche

 

Si l’amour était une musique

Ce serait celle de tes je t’aime

 

             Si l’amour était un vent

            Ce serait celui de ton souffle


Si l’amour était un lieu

Ce serait entre tes bras


            Si l’amour avait un nom

            Il n’en porterait qu’un seul…le tien

 

               

 

 

                                                           

 

 

                    à toi que j'aime....

 

    

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